Les journées passaient dans un cours immuable, coordonnés à la luminosité pâle du nord et les améliorations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, comme par exemple si le ciel lui-même les désirait à exprimer des messages invisibles. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au https://claytonweijk.prublogger.com/33347794/le-coeur-des-corneilles