Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément détaché, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de épuration, https://franciscoiqvya.blogadvize.com/41721906/les-crânes-silencieux