Le vent sculptait des crêtes mouvantes dans l’immensité du Sahara algérien, effaçant toute indice de pas dès qu’un silence infiniment long s’installait. Étienne, un ethnologue abandonné, traversait cette mer minérale dans le cadre d’une filet d’étude sur les théories ancestrales. Son méditation était tractée par un camp nomade unique, singulier https://josuepydhl.blogrenanda.com/40319638/les-runes-du-vent