La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la univers semblait faire parade. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une métaphore. Une https://lukasqbinr.blogdemls.com/33777746/les-parole-du-jardin-suspendu